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VIP-Blog de simo-boutahri
ferarri-1989@hotmail.com

  • 164 articles publiés
  • 742 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 16/08/2006 01:00
    Modifié : 06/11/2006 22:24

    Garçon (17 ans)
    Origine : maroc
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    L@g£ R@Ho MuNn@Bh@I

    25/09/2006 13:55

    L@g£ R@Ho MuNn@Bh@I


    Acteurs : Sanjay Dutt, Arshad Warsi, Vidya Balan, Boman Irani, Dia Mirza, Abhishek Bachchan

    Réalisateur : Raju Hirani

    Musique : Shantanu Moitra

    Résumé :

    Après avoir voulu obtenir son diplôme en médecine pour amadouer ses parents, Munna (Sanjay Dutt) et son ami Circuit (Arshad Warsi) sont de retour pour des aventures encore plus décapantes. Il se trouve que dans cette suite de Munnabhai M.B.B.S (2003), tout semble aller pour le mieux pour notre héros. Ses affaires marchent à merveille.

    Mais Munna est tombé sous le charme de Jhanvi, (Vidya Balan), célèbre animatrice à la radio. Il fond littéralement au son de sa voix et rêve de l'épouser. Mais seul hic : Jhanvi croit que Munna est un professeur d'histoire.

    Un beau jour, la jeune femme l'invite à faire un exposé d'histoire à sa famille. Munna se retrouve alors dans de beaux draps. Mais Circuit vient avec une brillante idée qui mènera Munna à se retrouver face à face avec le Mahatma Gandhi...

    Ce film du producteur Vinod Chopra (Parineeta, Karreb, Mission Kashmir, Khamosh, etc.) est prédit pour être l'un des blockbusters de cette année. On retrouve comme interprètes les chanteurs Shaan, Shreya Goyal, récemment en tournée chez nous, Sonu Nigam, entre autres.





    S@lM@n Kh@N pr£t à jou£r @v£c AiShW@rY@ RaI

    25/09/2006 13:53

    S@lM@n Kh@N pr£t à jou£r @v£c AiShW@rY@ RaI


    Aishwarya Rai ne veut pas faire un film avec son ancien petit ami Salman Khan même dans ses pires cauchemars. Aishwarya et Salman ont joué ensemble dans un seul film « Hum Dil De Chuke Sanam », cependant ils étaient encore ensemble, amoureux. Maintenant qu'ils se sont séparés ils ne peuvent meme plus se voir en face.

    Après leur rupture, Aishwarya a acclamé qu'elle avait été maltraité physiquement et mentalement par Salman. Aishwarya Rai ne veut plus avoir affaire avec lui et semble ne pas etre remis de sa rupture avec Khan. Mais il semble que Salman n'a pas perdu ses liens avec Aishwarya Rai . Dans une entrevue récente Salman a dit que ca le derangerait pas plus que ca de faire un film avec Aishwarya. « Je garde mes affaires personnels en dehors de ma vie professionelle » Salman clarifie. Voyons si des directeurs peuvent les réunir sur l'écran

                       lachez les com

                   






    Bl@cK sOrT @U cIn£m@

    25/09/2006 13:50

    Bl@cK sOrT @U cIn£m@


    Le film Black De sanjay Leela Bhansali est sorti dans nos salles francaises.

    Michelle McNally est une fillette anglo-indienne de huit ans qui vit dans un monde de ténèbres. Avide de communiquer, son esprit vit dans une frustration qui débouche sur la violence, la destruction et les crises de fureur. Debraj Sahai est un professeur alcoolique consumé par sa fonction d'enseignant. L'établissement où il exerce réclame son départ. Le proviseur, confiant dans ses capacités, l'envoie dans la maison des McNally pour s'occuper de la fillette.

    Depuis 2002 et son somptueux Devdas, Sanjay Leela Bhansali n?avait plus donné de signe de vie artistique. Celui qui a réussi avec son dernier film à rendre populaire le « Bollywood Movie » en France revient avec une ½uvre radicalement différente, Black. Loin de ce qui (habituellement) fait la marque des films indiens, à savoir ces drames colorés, accompagnés de chansons et chorégraphies enlevées, Sanjay Leela Bhansali nous livre sa version de l?histoire d?Helen Keller (qui avait déjà été traité dans Miracle en Alabama d?Arthur Penn en 1962), à savoir celle de cette jeune fille sourde-muette qui dut apprendre à communiquer avec le monde extérieur avec son corps. Black adopte l?approche tout à fait novatrice, et réussie, de nous faire vivre, de manière sensitive et graphique, l'évolution de la jeune Michelle McNally (la bombe indienne Rani Mukherjee), qui passera de l'état de révolte quasi-permanent à celle d'être apaisé et ouvert sur un monde grâce à l'apprentissage et l'amour apporté par son professeur, Debraj Sahai (l'immense acteur Amitabh Bachchan).

    La première grande surprise de Black vient de son casting : en premier lieu Rani Mukherjee, une des reines de Bollywood avec Aishwarya Rai et Preity Zinta (avec qui elle a partagé l'affiche de Veer Zaara) méconnaissable en Michelle adulte. Elle est bouleversante, oscillant entre brutalité et douceur pour nous faire ressentir la frustration et le calvaire imposés par son handicap, faisant ressortir par son jeu physique toutes les nuances de la relation qui l'unit à son professeur (où la brutalité n'est pas absente), adoptant une démarche et une attitude qui n'ont rien de glamour, bien loin de ses compositions habituelles. Dans le rôle de l'éducateur , Amitabh Bachchan (pilier du cinéma indien avec plus de 160 films au compteur !) est tout aussi époustouflant en professeur atypique et vindicatif, profondément habité par son personnage de gourou qui n'hésitera pas à couper son élève de sa famille pour mieux l'aider à communiquer. Celui qui est souvent considéré comme le patriarche des films indiens réussit à mettre sa superbe de côté pour prendre les habits mités d'un professeur alcoolique et intransigeant, parfois goguenard mais toujours combatif, et qui poussera Michelle jusque dans ces derniers retranchements.

    Peut-être plus que le talent de ces comédiens, Black doit son incontestable réussite à la direction de Sanjay Leela Bhansali, donnant des rôles à contre-emploi à son duo-vedette, mais sachant aussi exploiter avec sens son casting de seconds rôles, en premier lieu les parents de Michelle, ou encore lorsque Michelle enfant est interprétée par la débutante Ayesha Kapoor, une véritable révélation. Comme Devdas, Black se singularise par une recherche esthétique et visuelle somptueuse, où se déclinent toutes les nuances du noir (d'où le titre !), magnifiées par la photographie de Ravi K. Chandran (qui vient de signer celle de Fanaa, le dernier gros succès du cinéma indien de 2006). On passe ainsi de l'environnement froid de la maison des McNally à l'ambiance bucolique et anglaise de l'université, avec la scène particulièrement émouvante de la découverte de la neige par Michelle, dans laquelle le spectateur réussit à percevoir la découverte de cette sensation nouvelle pour la sourde-muette. Larmes et frissons garantis !

    Mais plus que dans sa virtuosité technique, le talent de Sanjay Leela Bhansali réside dans sa capacité à éviter les éccueils du mélodrame lacrimal avec aisance pendant une bonne partie de son récit, l'apitoiement n'étant pas de rigueur pour décrire les épreuves rencontrées par les deux protagonistes. Le réalisateur se paie le luxe d'offrir, dans le dernier quart de son film, un retournement de situation (une constante du cinéma "Bollywood"), à la fois osé et hautement symbolique qui, loin d'ampouler son récit, réussira à faire fondre et à emporter l'adhésion du spectateur, même le plus blasé. Avec Black, Sanjay Leela Bhansali démontre qu'il est un conteur hors pair au savoir-faire indéniable, il est d'ailleurs entré définitivement dans la case des grands réalisateurs indiens, Black ayant obtenu 11 récompenses aux Filmfare Awards 2006 dont celui du meilleur film.

    Succès commercial et artistique abouti, Black est sûrement un des évènement s de la rentrée à ne pas rater, pour tous les amateurs qui aiment le cinéma indien, et pour ceux qui n'en sont pas des fans à part entière, leur a priori sera bousculé par la vision si particulière de son auteur, Sanjay Leela Bhansali.




    W@t£R @u CiN£m@

    25/09/2006 13:48

    W@t£R @u CiN£m@


    Water est le troisième volet de la trilogie réalisée par Deepa Mehta avec Fire (1996) et Earth (1998).

    Dans les années 30, alors que l'Inde se bat contre les Britanniques pour obtenir son indépendance, la condition des veuves restent précaires et elles sont forcées de travailler et pour certaines de se prostituer. On découvre cet univers pesant par le biais de dl'incursion d'une jeune veuve. Chuyia encore enfant est laissée par son père dans un ashram (maison de veuves). Elle se lie d'amitié avec Kalyani, l'unique veuve non dépourvue de sa chevelure (et pour cause, elle se prostitue pour faire vivre les femmes du ashram). Kalyani (Lisa Ray) va briser son statut de veuve en tombant amoureuse d'un brâhman, Narayan (John Abraham).

    Préparez-vous à embarquer pour un voyage qui étanchera votre soif. Water ne vous laissera en aucun cas perméable à sa douche. Vous sortirez imbibé par la teneur de cet élixir. Après Fire et Earth, le dernier cru de la trilogie de Deepa Mehta nous immerge dans une atmosphère moite et étouffante. Au-delà, d?une calligraphie régulière des saris blancs, on s?immisce dans l?intimité de femmes aux crânes rasées. Les imageries sont fortes et saisissantes. Deepa Mehta capture l?instant, une faille entre un malaise oppressant teinté de sublime. Avec subtilité on s?infiltre au sein des souffrances et des joies de ces femmes.

    S?abreuvant d?un sujet houleux : le veuvage en Inde, Deepa Mehta place son intrigue à une période cruciale, 1938, époque marquée par l?ère Gandhi. Dans les méandres du film, s?écoule ainsi les préceptes et idéaux du Mahatma par le biais de son avatar Narayan (John Abraham). Mais une autre voix inonde le film, celle de la réalisatrice, qui, abasourdie 10 ans plutôt par la détresse d?une veuve, s?est plongée dans ce projet périlleux, où elle dut faire face aux menaces de mort et aux attaques. Echo des veuves, Deepa Mehta nous emmène dans leur ashram et nous projette dans cet enfer inacceptable où une échappatoire surgit avec l?arrivée de l?intrépide Chuyia. 8 ans et déjà veuve, elle ne souhaite guère vivre une existence dans le renoncement. Par le jeu, les liens se tissent et les figures fantomatiques des veuves retrouvent vie à son contact.

    Water est au même titre que le Taj Mahal, « une larme sur la joue du temps » (dixit R. Tagore). C?est avec virtuosité et grâce que Deepa Mehta, assemble les nuances de coloris et compose chaque plan en un tableau. Hymne à la vie, description corrosive d?une condition devenue identité, elle nous expose le chemin de croix infligé depuis des millénaires aux femmes. Les veuves hindoues sont écartées de la vie sociale et poussées à l?ostracisme. Elles subissent une ségrégation silencieuse, visible par leur étoffe blanche. Leur sari blanc a pour fonction de séparer, d?avertir le passant qui croise une veuve de son statut. Ce suaire revêt le sens de la mort, de la malédiction et de la faute grave. La veuve représente dès lors la perte du Sowbhagya, la bonne fortune et est assimilée au mauvais ½il.

    Deepa Mehta, révèle ici les conditions de vie des veuves dictées par les préceptes de textes religieux. Fardeau, tare d?une nation, elles sont devenues le symbole des travers d?un pays. Avec Chuyia, ce sont les croyances ancestrales qui sont dénoncées. La famille l?abandonne par tradition. Elle est synonyme de malédiction et mourir sur les rives du Gange lui assurera son salut. Kalyani dévoile les dessous de la prostitution et suggère ceux du « système Sevadasi » (toujours actuel dans certains bhajanashrams) dans lequel un service rendu à un riche ou à un homme de pouvoir est vu comme un acte de piété. Enfin, Narayan révèle une politique corrompue qui ferme les yeux sur le sort des veuves à des fins économiques, n?ayant pas ainsi à leur verser de pension.

    Water émerge de ses eaux troubles et profondes un mélange de stars étonnantes issues de plusieurs générations avec notamment de grandes actrices comme Seema Biswas (Bandit Queen) et un monument du cinéma hindi : Waheeda Rehman (Pyaasa pour ne citer que lui). Water exulte par l?interprétation exceptionnelle et poignante de ses comédiens.

    D?autre part, la musique aérienne et enivrante de A.R. Rahman, rythme au clapotis des larmes de pluie versées, les vies des veuves, leur souvenir tenace, leur plaisir profane, apportant ainsi un souffle de fraîcheur. De même, l?eau enveloppe le film. Fil conducteur où tout converge, sacrée, divertissante et vitale, l?eau accompagne les hindous dans la mort. L?eau est ici l?air, la dernière source de vie palpable pour les veuves. Water reste un témoignage indispensable de la condition inhumaine de vie et du traitement des veuves hindoues dû à des préceptes caducs et une politique encline à abandonner ses veuves. Water est un film à voir sans modération.





    abdlhalim avec zakaria

    25/09/2006 02:17

    abdlhalim avec zakaria


    c mon frére avec mon cousin zakaria dans la plage skhirat






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