|
|
|
|
|
* shahrukh khan * (biographie)
25/09/2006 14:36
né le :2novembre 1965 marié:gauri a :deux enfants :aryan (1997) suhana (2000) habite:new delhi
Shahrukh Khan est issu d'une famille musulmane. Son père était entrepreneur ; sa mère était magistrate et s'occupait d'½uvres sociales. Il garde un souvenir idyllique de son enfance à New Delhi, entouré de ses parents avec lesquels il entretenait une grande complicité.
Son père meurt d'un cancer alors qu'il a 15 ans. Première situation difficile pour Shahrukh Khan, mais il fait front.
Étudiant à New Delhi, il est bon élève, indiscipliné, clown, capitaine d'équipes sportives. Pendant sa maîtrise en Communication de masse à l'université, il fait ses classes dans les séries télé, ce qui lui vaut de... ne pas terminer ses études et de se faire connaître dans la série télévisée Fauji.
Il rencontre Gauri au lycée. Ils veulent se marier, mais la famille de Gauri, hindoue, refuse que leur fille épouse ce garçon musulman, mal coiffé et sans situation ! Ils entretiendront pendant six ans une liaison cachée et iront jusqu'à faire croire aux parents de Gauri qu'ils se sont mariés secrètement. Réalisant qu'ils s'exposent au pire, les parents admettent enfin ce mariage.
La mère de Shahrukh Khan ne verra pas cette union. Elle meurt en 1991. Il a 26 ans. Il pleure beaucoup et commence à croire en Dieu, car « c'est le seul espoir de revoir sa mère un jour », dit-il.
Il part à Bombay. N'ayant aucune relation dans le milieu du cinéma, il se bat pour convaincre les producteurs de miser sur son talent.
1992 marque le début de sa carrière. C'est toutefois en 1993 qu'il commence à être vraiment connu grâce à Daar et à Baazigar. Ces rôles de tueurs psychopathes (refusés préalablement par Aamir Khan et Salman Khan) auraient pu enfermer Shahrukh Khan dans des emplois de « vilain », dans un contexte où on aime les héros sains et innocents... Mais il se distingue par une interprétation originale, à la fois inquiétante et attachante. Baazigar lui vaut son premier prix de meilleur acteur.
Depuis, il a enchaîné plus de 40 films. Il collectionne les « blockbusters » (grands succès commerciaux) et les prix du meilleur acteur : en 1995 pour Dilwale Dulhania Le Jayenge, en 1997 pour Dil To Pagal Hai, en 1998 pour Kuch Kuch Hota Hai, en 2002 pour Devdas, pour ne parler que des plus connus.
Doté d'une énergie légendaire, il ne se contente pas d'être acteur. En 2000, il crée Dreamz Unlimited, une société de production, avec deux amis de longue date, l'actrice Juhi Chawla et le réalisateur Aziz Mirza. Les premiers films, Phir Bhi Dil Hai Hindustani et Asoka, ne sont pas des « blockbusters », mais en 2003, Chalte Chalte lui permet de renouer avec le succès commercial.
Shahruck Khan est devenu une superstar, le « Baadshah » (roi) de Bollywood. Le Président de l'Inde lui décerne le « Best Indian Citizen Award » en 1997. Il est déclaré l'homme le plus sexy d'Asie en 2001 par le magazine Jade. Cet homme charismatique, à la fois arrogant et humble, est cependant très attaché à sa femme et à sa vie de famille. Il est très proche de son fils Aryan, né en 1997 (qui joue le rôle de son fils dans Kabhi Khushi Kabhie Gham), et de sa fille Suhana, née en 2000. Il déclare souvent qu'il doit son succès à Dieu qui lui a donné tous ces bienfaits mais qui peut les lui reprendre demain... comme il lui a pris sa mère. L'acteur qui pleure dans Devdas est un homme qui sait le prix des larmes.
De graves problèmes des vertèbres cervicales l'ont obligé à ralentir le rythme effréné de ses tournages depuis Devdas. Plusieurs films sont toutefois programmés pour fin 2003 et pour 2004.
Commentaire de Narine (04/11/2008 22:15) :
Hello , i want to say you that you are the most beautiful and popular actor
in the world. I adore you, i'm armenian, but now i live in french.I
speak in 4 languages:armenian, russian, english and french. I don't
know that i can say to you, because one of my dreams is to meet you. I was
looked all your films and i know all yor songs, i have got all your photos.
I don't know that say again, juste i hope that one day i meet you. And
your children are very beautiful, your son is like you. OK, i speak very
much good bye and all the best to you.
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
K@Nk: l£ d£b@T!
25/09/2006 14:29
 Dans le monde des films en Technicolor de Bollywood, les femmes et les hommes chantent en play-back des paroles à l'eau de rose, dansent dans des décors luxuriants et endurent quelques moments difficiles avant de trouver l'amour éternel.
Le réalisateur indien Karan Johar est un as de ces films à romances happy end qui entraînent l'hystérie en Inde lorsqu'ils sortent en salle.
Sa dernière oeuvre, Kabhi Alvida Naa Kehna (Ne jamais dire au revoir), sortie le week-end dernier, est déjà en passe de devenir le film le plus vu cette année, à en croire les records d'audience (6eme au Box Office anglais).
Cette fois pourtant, le réalisateur a choisi un autre canevas et nombre de spectateurs ont semblé peu ravis au sortir de la projection : on voit bien ses personnages marcher au soleil couchant... mais seulement après avoir mis fin à leurs mariages malheureux.
Le thème de la séparation ou du divorce, peu accepté dans la très conservatrice société indienne, a choqué la classe moyenne urbaine et le débat enragé suscité par le film a débordé les salles de cinéma pour atteindre les studios des télévisions et les blogues sur Internet.
«C'est un film mauvais et corrompu», écrit ainsi Sanjeev sur le site Internet de la télévision privée CNN-IBN.
«Faire marcher son mariage dépend de vous. Si votre partenaire est compréhensif et souhaite y arriver, vous pouvez faire des compromis et changer», écrit Deepti Kanojia dans le tabloïd Mumbai-Mirror, édité à Bombay, capitale de Bollywood.
«J'espère seulement que les esprits faibles ne vont pas prendre le film au sérieux et laisser tomber leur mariage juste parce qu'ils ne se "sentent pas bien"», ajoute ce lecteur.
Le film à gros budget offre tous les ingrédients de la marque Johar : des vêtements chic et branchés, des stars de Bollywood jouant le rôle d'immigrants indiens à New York, des danses extravagantes et des décors luxueux.
C'est l'histoire que beaucoup n'ont pas trouvée de bon goût.
Le personnage principal, interprété par la superstar Shah Rukh Khan, est un homme amer qui a fait un mariage sans amour avec une rédactrice en chef glamour.
Rani Mukherjee, une des actrices fétiches du réalisateur, est mariée à un homme compréhensif mais leur union manque d'étincelles, et c'est en rencontrant Shah Rukh Khan qu'elle redécouvre l'amour.
L'un et l'autre luttent pour sauver leur mariage pendant trois ans avant de tomber dans les bras l'un de l'autre et de quitter leurs conjoints.
Ce n'est pas la première fois qu'un film indien parle d'infidélité. Les films d'art et d'essai ont souvent montré des personnages adultères et, plus tard, des films commerciaux ont exploré le sujet.
«Mais dans les autres films commerciaux, la femme trompait puis revenait à son mari. Là, le film banalise le mariage. Les femmes ne peuvent tout simplement pas comprendre pourquoi l'héroïne a quitté un mari accommodant qui lui a donné tout ce qu'elle a souhaité», explique Indu Mirani, rédactrice en chef du site Internet spécialisé dans le cinéma www.thirtymm.com.
D'autres, comme la célèbre écrivain Shobhaa De, qui a écrit le best-seller Époux : la vérité sur le mariage, se disent pour leur part choqués que les Indiens ne puissent pas encaisser un tel scénario.
«Ceux qui ne vivent pas des mariages aussi parfaits qu'ils le voudraient sont en fait ceux qui ont réagi avec hostilité. Chacun a vu un peu son mariage dans le film. Nous sommes une société du déni, qui s'accroche à ses valeurs», estime Mme De.
Il n'y a pas de statistiques officielles démontrant que davantage de mariages urbains finissent mal. Mais dans ce pays où les affaires de famille sont traditionnellement réglées à la maison, les avocats spécialisés dans les mariages se sont multipliés ces dernières années.
«Les mariages se rompent partout. Cela va arriver ici aussi et cela va frapper l'Inde plus qu'ailleurs car c'est une société profondément traditionnelle», prédit Mme De.
Source: Le devoir.
plus commentaire 
| |
|
|
|
|
|
|
|
A@P Ki Kh@tIr
25/09/2006 14:25
Réalisateur : Dharmesh Darshan
Musique : Himesh Reshammiya
Résumé :
Priyanka Chopra est Anu, une fille innocente, romantique et qui veut trouver l? homme idéal à tout prix.
Akshaye Khanna est Aman, un homme très sur de lui, qui sait ce qu?il veut dans la vie. Il travaille avec Anu à Londres.
Amisha Patel est Shirani, une jeune futur mariée avec des rêves pleins la tête, elle attend ardemment l?union avec l?homme de ses rêves. Mais le bonheur sera-t-il vraiment là ?
Sunil Shetty est Kunal , un très bel homme généreux, attentionné et assez mature pour comprendre les complexités d?une relation amoureuse. Pas de doute, c?est un homme pour qui on donnerait sa vie.
Dino Morea est Danny, l?éternel charmeur, beau gosse, sans cesse amoureux. Il croit qu?aucune femme ne peut lui résister si il l?a décidé .
Anupam Kher est Arjun Khanna et Lillette Dubey est Betty Khanna, ils sont mariés et veillent sur Anu et Shirani.
Le film débute avec Anu qui prend l?avion pour assister au mariage de sa belle s½ur Shirani, avec Kunal.
Mais, en réalité, Anu veut retrouver Danny, l?homme de ses rêves er rester avec lui pour toujours.
Dans le but de rendre Dany jaloux, Anu convainc son collègue Aman de l?accompagner au mariage.
Parmi la splendeur et le faste du mariage de Shirani, les secrets les plus sombres et les relations les plus inattendues se révèlent, menant à un enchaînement qui changera les vies d'Anu, d'Aman, de Shirani, de Danny et de Kunal de différentes façons?
Est ce que le véritable amour d?Anu est Danny ?
Shirani sera-t-elle heureuse dans son mariage avec Kunal?
| |
|
|
|
|
|
|
|
Romnatic Hits Bollywood (Vol. 2) en version française disponible chez CHIC MARMAILLES (Saint-André)
25/09/2006 14:23
C?est en septembre 2005 que le premier volume de cette collection "Romantic Hits Bollywood" a été présenté au public réunionnais et c'était la conséquence de la popularité des films indiens dans notre île dont les dernières réussites en date sont, entre autres, Garam Massala, Zeher, Salaam Namaste, Kisna, Paheli, Shabd... pour ne citer que les DVD les plus demandés en vidéo location. Par ailleurs dans le palmarès 2005 des chansons des films de Bombay on retrouve "Woh Lamhe" (extrait de la BOF Zeher) ensuite "Aashiq Banaya" pour le film "Aashiq Banaya Apne", ou encore "Just Chill" du film "Maine Pyar Kyun", citons également "Kajare" (Bunty aur Babli) et enfin "Dus Bahane" du film "Dus" (Cf. l'émission "Top Ten Bollywood proposée par la MBC et présentée par Paméla Patten sur radio Réunion RFO en début d'après-midi du dimanche). En 2005, le producteur de Tout Mizik s'était fixé comme objectif de réussir à adapter en français les chansons tubes des films de Bollywood et pour cela il fallait chercher et trouver des collaborateurs artistiques chez vos voisins mauriciens, surtout pour les interprètes féminines. Le premier volume du répertoire des chansons romantiques indiennes a surpris tout le monde, d'abord par une bonne traduction en français que ne trahit pas le texte original et qui restitue avec justesse la valeur sentimentale des romances et autres déclarations d'amour sur fond de tabla et de sitar. Ainsi, pour le Romantic Hits Bollywood (volume 2) les voix des interprètes : Sangeeta Deerpaul, David D., Jimmy H. et Marc H. sont à nouveau au service de succès qu'on redécouvre en version française et qui curieusement ne poussent pas à la comparaison avec les versions originales puisqu'elles nous font tomber sous la même séduction et sous le même charme. Notre seul regret c'est de n'avoir que des voix sans les visages des interprètes de ce nouveau "best of" de la chanson romantique de Bollywood.
Pour plus d'informations: CHIC MARMAILLES 44, centre commercial 97440, Saint-André 0262 468408
| |
|
|
|
|
|
|
|
Zinda est sorti!!!
25/09/2006 14:21
Avec: Sanjay Dutt, John Abraham...
Histoire: Bala, informaticien, est à Bangkok en compagnie de sa femme Nisha. Un beau jour, il se fait enlever pour des raisons qui lui sont complètement inconnues. Il se retrouve enfermé dans une chambre avec pour seul contact une personne masquée qui tous les jours lui apporte ses repas. Bala ne voit le monde extérieur qu'à travers la télévision dans sa chambre et c'est ainsi qu'il apprend que sa femme Nisha a été assassinée et qu'il est le premier suspect aux yeux de la police. Les jours passent et deviennent des semaines, puis des mois, puis des années et Bala est toujours prisonnier, avec la télévision qui lui apporte quotidiennement des images d'un monde en pleine mutation. Puis, sans aucune explication, Bala est libéré au bout de quatorze années. Mais il découvre vite que son calvaire est loin d'être terminé lorsqu'il se fait remettre une somme d'argent et un téléphone portable. Ce n'est là que la prochaine étape du jeu tordu orchestré par son mystérieux tourmenteur. Se lançant à la recherche de cet ennemi inconnu, Bala fait la connaissance de Jenny, chauffeur de taxi qui est au courant de son histoire. Avec son aide, il finit par trouver des indices qui le mettent sur la piste du responsable de toute cette histoire : un homme d?affaires nommé Rohit Chopra. Bala obtient donc les réponses quant aux raisons de son enlèvement et de sa longue captivité. Mais ces révélations entraînent aussi d'autres qui le laisseront complètement ébranlé...
Critique: Après s'être longtemps inspirés de blockbusters hollywoodiens, les films indiens se tournent maintenant vers le cinéma de qualité. Zinda n'est autre que l'adaptation de Old Boy, un grand film coréen signé Park Chan Wook, film faisant partie de sa « trilogie de la vengeance». Ce qui veut dire un film très noir, avec des scènes dépassant les limites du supportable, car la critique parle d'une fidèle adaptation. Celle-ci parle aussi d'un genre nouveau susceptible de dérouter («un film pour un public jeune et masculin» dit un journaliste) le public du sous-continent. Le public occidental plus sophistiqué aura sans doute déjà vu l'original et appréciera probablement la copie. Si elle est à la hauteur, Zinda sera un film aussi fort que le film de Park Chan Wook.
| |
|
|
|
|